BIPERIDYS 20 mg

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  • À propos

    Principes actifs

    • Dompéridone

    Excipients

    • Noyau :
    • Povidone
    • Lactose
    • Amidon de riz
    • Cellulose microcristalline
    • Magnésium stéarate
    • Huile de ricin
    • Sodium laurylsulfate
    • Pelliculage :
    • Hypromellose

    Classification ATC

      • voies digestives et métabolisme
        • antispasmodiques, anticholinergiques et stimulants de la motricité intestinale
          • stimulants de la motricité intestinale
            • stimulants de la motricité intestinale
              • dompéridone

    Statut

      Ce médicament a été autorisé sur le marché entre le 20/10/2003 et le 18/02/2015.
  • Indications : pourquoi le prendre?

    Indications d’utilisation

    • Nausée
    • Vomissement

    Indications thérapeutiquesAdultes :
    Soulagement des symptômes de type nausées et vomissements, sensations de distension épigastrique, gênes au niveau supérieur de l’abdomen ou régurgitations gastriques.

    Le  PRAC conclut que la balance des bénéfices et des risques reste favorable chez l’enfant et chez l’adulte sous réserve de restreindre l’indication au traitement symptomatique des nausées et vomissements.Le rapport bénéfice-risque de la dompéridone pour le soulagement des symptômes de type nausées et vomissements reste positif chez les adultes, les adolescents et les enfants.

  • Alerte ANSM DU 01/09/14 :
  • Alerte ANSM du 10/03/2014 :
  • Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?

    CONTRE-INDIQUE :
    BIPERIDYS est contre-indiqué dans les cas suivants :
    – hypersensibilité connue au dompéridone ou à l’un des excipients,
    – tumeur hypophysaire à prolactine (prolactinome).
    BIPERIDYS ne doit pas être utilisé lorsque la stimulation de la motricité gastrique peut s’avérer nocive : hémorragie gastro-intestinale, obstruction mécanique ou perforation digestive.
    Les comprimés pelliculés contiennent du lactose et peuvent être inappropriés chez les patients souffrant d’intolérance au lactose, de galactosémie ou de malabsorption du glucose ou du galactose.
    – Utilisation en cas de troubles hépatiques : le dompéridone étant fortement métabolisé dans le foie, BIPERIDYS ne doit pas être utilisé chez des patients souffrant de troubles hépatiques.
    – Utilisation en période d’allaitement : la quantité totale de dompéridone excrétée dans le lait maternel est estimée inférieure à 7 µg par jour à la posologie maximale recommandée. La toxicité pour les nouveau-nés en est inconnue. Il est donc recommandé aux mères prenant du BIPERIDYS de ne pas allaiter leurs enfants.
    DECONSEILLE :
    Grossesse : il existe peu de données après commercialisation sur l’utilisation du dompéridone chez les femmes enceintes. Une étude chez le rat a montré un effet toxique sur la reproduction en cas de dose élevée, toxique pour la mère. Le risque éventuel chez l’homme est inconnu. De ce fait, BIPERIDYS ne doit être utilisé pendant la grossesse que lorsque le bénéfice thérapeutique attendu le justifie.

    Les médicaments qui contiennent de la dompéridone sont désormais contre-indiqués chez les patients présentant une insuffisance hépatique modérée ou sévère, en cas d’affections qui allongent ou qui pourraient affecter la conduction cardiaque, en cas d’affections cardiaques sous-jacentes telles qu’une insuffisance cardiaque congestive, ainsi qu’en cas de prise concomitante de médicaments qui allongent l’intervalle QT ou d’inhibiteurs puissants du cytochrome P450 3A4.

  • Alerte ANSM DU 01/09/14 :
  • Posologie et mode d’administration

    Il est recommandé de prendre BIPERIDYS avant les repas. Si le médicament est pris après les repas, son absorption est quelque peu retardée.

    La durée initiale du traitement est de quatre semaines. Les patients doivent être examinés à nouveau après quatre semaines et la nécessité de poursuivre le traitement sera alors évaluée.

    Adultes et adolescents (plus de 12 ans et plus de 35 kg) :

    ½ à 1 comprimé de 20 mg, trois ou quatre fois par jour, la dose quotidienne maximum étant de 80 mg.

    La forme comprimé n’est pas adaptée aux enfants pesant moins de 35 kg.

    Les enfants seront traités préférentiellement avec une forme suspension buvable.

    – de reconsidérer l’utilité de toute nouvelle prescription
    Alerte ANSM du 10/03/2014 :

    Concernant la posologie, le PRAC recommande :
    Pour les formes orales :
    Enfants ou adolescents de moins de 35 kg : 0,25 mg/kg par prise jusqu’à 3 fois par jou

    • La dompéridone doit être utilisée à la dose efficace la plus faible, pour une période la plus courte possible. La durée maximale du traitement ne doit généralement pas dépasser une semaine.
    • Les nouvelles posologies recommandées sont les suivantes :
      –       Pour les adultes et adolescents à partir de 12 ans et de 35 kg : 10 mg jusqu’à 3 fois par jour, la dose quotidienne maximale étant de 30 mg.
      –       Pour les nouveau-nés, nourrissons, enfants (moins de 12 ans) et adolescents de moins de 35 kg : 0,25 mg/kg jusqu’à 3 fois par jour, la dose quotidienne maximale étant de 0,75 mg/kg.

    Comprimé pelliculé sécable oblong blanc.

  • Alerte ANSM DU 01/09/14 :
  • – de respecter strictement les indications et de prendre en compte le risque cardiaque (dont l’allongement de l’espace QT) en particulier chez les patients qui présentent des facteurs de risque,
    – de limiter la prescription à la durée de traitement la plus courte (usuellement 7 jours maximum) et à la dose la plus faible possible, sans dépasser 30 mg/jour chez l’adulte. Le risque peut être plus élevé chez les patients âgés de plus de 60 ans ou chez ceux traités par des doses quotidiennes supérieures à 30 mg.
  • Dans l’attente des recommandations du PRAC attendues pour mars 2014, l’ANSM recommande :
  • Alerte ANSM du 20/02/2014 :
  • Mises en garde et précautions d’emploi

    Les comprimés pelliculés contiennent du lactose et peuvent être inappropriés chez les patients souffrant d’intolérance au lactose, de galactosémie ou de malabsorption du glucose ou du galactose.Utilisation en période d’allaitement:Utilisation en cas de troubles hépatiques:Insuffisance rénale:Etant donné que les reins excrètent une très faible quantité de produit actif non dégradé, il est peu probable que, lors d’une administration unique, la dose doit être ajustée chez des patients souffrant d’insuffisance rénale. Cependant, en cas d’administrations répétées, la fréquence des doses doit être réduite à une ou deux prises par jour, en fonction du degré de l’insuffisance rénale, et il est possible que la dose doive être diminuée. Les patients insuffisants rénaux sous traitement prolongé doivent être surveillés régulièrement.Des études épidémiologiques ont mis en évidence que l’utilisation de la dompéridone peut être associée à une augmentation du risque d’arythmies ventriculaires graves ou de mort subite d’origine cardiaque (voir rubrique Effets indésirables). Le risque peut être plus élevé chez les patients âgés de plus de 60 ans ou chez ceux traités par des doses quotidiennes supérieures à 30mg. La dompéridone doit être utilisée à la dose efficace la plus faible chez les adultes et les enfants.Utilisation avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4:

  • La prise concomitante de kétoconazole par voie orale, d’érythromycine par voie orale ou d’autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 qui allongent l’intervalle QTc doit être évitée (voir rubrique Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions).
  • Il est recommandé d’utiliser avec précaution la dompéridone et les autres médicaments allongeant l’intervalle QTc chez les patients présentant un allongement des intervalles de conduction cardiaque, notamment de l’intervalle QTc, et les patients présentant des troubles électrolytiques importants ou des maladies cardiaques sous-jacentes telles qu’une insuffisance cardiaque congestive.
  • Effets cardiovasculaires :
  • Chez des patients souffrant d’insuffisance rénale sévère (créatinine sérique > 6 mg/100 ml, c’est à dire > 0,6 mmol/l), la demi-vie d’élimination de la dompéridone a été rallongée de 7,4 à 20,8 heures, mais les concentrations plasmatiques en produit actif étaient moins élevées que chez les volontaires sains.
  • La dompéridone étant fortement métabolisée dans le foie, BIPERIDYS  ne doit pas être utilisé chez des patients souffrant de troubles hépatiques.
  • La quantité totale de dompéridone excrétée dans le lait maternel est estimée inférieure à 7 µg par jour à la posologie maximale recommandée. La toxicité pour les nouveau-nés en est inconnue. En conséquence, BIPERIDYS ne doit pas être utilisé au cours de l’allaitement.
  • Ce médicament contient de l’Huile de ricin et peut provoquer des troubles digestifs (effet laxatif léger, diarrhée).
  • Grossesse et allaitement

    Grossesse :
    Il existe peu de données après commercialisation sur l’utilisation du dompéridone chez les femmes enceintes. Une étude chez le rat a montré un effet toxique sur la reproduction en cas de dose élevée, toxique pour la mère. Le risque éventuel chez l’homme est inconnu. De ce fait, BIPERIDYS ne doit être utilisé pendant la grossesse que lorsque le bénéfice thérapeutique attendu le justifie.
    Allaitement :
    Le médicament est excrété dans le lait maternel des rates allaitantes (en majeure partie sous forme de métabolites : concentrations maximales de 40 ou 800 ng/ml après, respectivement, une administration orale ou intraveineuse de 2,5 mg/kg). Les concentrations de dompéridone dans le lait maternel des femmes allaitant représentent 10 à 50% des concentrations plasmatiques correspondantes et ne devraient pas excéder 10 ng/ml. La quantité totale de dompéridone excrétée dans le lait humain est estimée inférieure à 7 µg par jour à la posologie maximale recommandée. La toxicité pour les nouveau-nés en est inconnue. Il est donc recommandé aux mères prenant du BIPERIDYS de ne pas allaiter leurs enfants.

  • Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions

    La voie métabolique principale de la dompéridone implique le CYP3A4. Les données in vitro suggèrent que l’administration concomitante de médicaments qui inhibent le CYP3A4 de façon importante peut entraîner l’augmentation des concentrations plasmatiques de dompéridone.En associant dompéridone 10 mg par voie orale quatre fois par jour et kétoconazole 200 mg deux fois par jour, un allongement moyen du QTc de 9,8 ms a été noté durant la période d’observation, avec des variations ponctuelles allant de 1,2 à 17,5 ms. En associant dompéridone 10 mg quatre fois par jour et érythromycine par voie orale 500 mg trois fois par jour, l’intervalle QTc moyen durant la période d’observation était prolongé de 9,9 ms, avec des variations ponctuelles allant de 1,6 à 14,3 ms. Dans chacune de ces études d’interactions, la Cmax et l’ASC de la dompéridone à l’état d’équilibre étaient approximativement multipliées par trois. Dans ces études, la dompéridone 10 mg administrée par voie orale en monothérapie quatre fois par jour entraîne une augmentation du QTc moyen de 1,6 ms (étude kétoconazole) et 2,5 ms (étude érythromycine) tandis que le kétoconazole en monothérapie (200 mg deux fois par jour) et l’érythromycine en monothérapie (500 mg trois fois par jour) entraîne une augmentation du QTc de 3,8 et 4,9 ms, respectivement, pendant la période d’observation.

  • Différentes études d’interactions pharmacocinétique/pharmacodynamique in vivo avec du kétoconazole par voie orale ou de l’érythromycine par voie orale chez des sujets sains, ont confirmé une forte inhibition du métabolisme de premier passage CYP3A4 dépendant de la dompéridone par ces substances.
  • Effets indésirables

    Les effets indésirables sont classés selon leur fréquence, selon la convention suivante: très fréquent (> 1/10), fréquent (>1/100, <1/10), peu fréquent (>1/1000, <1/100), rare (>1/10000, <1/1000), très rare (<1/10000), en incluant les cas isolés.·         Troubles du système endocrinien: Rares: augmentation des taux de prolactine1.·         Troubles du système nerveux: Très rares: effets extrapyramidaux2, convulsions3, somnolence3, céphalée.·         Troubles gastro-intestinaux: Rares: troubles gastro-intestinaux, y compris des crampes intestinales très rares et passagères. Très rares: diarrhées.·         Troubles de la reproduction et des glandes mammaires: Rares: galactorrhée, gynécomastie, aménorrhée.1L’hypophyse étant située en deçà de la barrière hémato-encéphalique, la dompéridone peut causer une augmentation des concentrations en prolactine. Dans de rares cas, cette hyperprolactinémie peut entraîner des effets indésirables neuroendocriniens tels que galactorrhée, gynécomastie et aménorrhée.3Les troubles du système nerveux central de type convulsions, agitation et somnolence sont également très rares et rapportés essentiellement chez les nourrissons et les enfants.
    Cette réévaluation confirme une légère augmentation du risque d’effets indésirables cardiaques graves liés à l’utilisation de la dompéridone. Ce risque a particulièrement été observé chez les patients âgés de plus de 60 ans, chez les patients traités par une dose quotidienne de plus de 30 mg, ou en cas de prise concomitante de médicaments qui allongent l’intervalle QT ou d’inhibiteurs du cytochrome P450 3A4.

  • Alerte ANSM DU 01/09/14 :
  • 2Les effets extrapyramidaux sont très rares chez les nouveau-nés et les nourrissons, et exceptionnels chez les adultes. Ces effets indésirables régressent spontanément et complètement à l’arrêt du traitement.
  • ·         Investigations: Très rare: test de la fonction hépatique anormal.
  • ·         Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés: Très rares: urticaire, prurit, rash.
  • ·         Troubles cardiaques : fréquence inconnue : allongement de l’intervalle QTc, arythmies ventriculaires, mort subite (voir rubrique Mises en garde et précautions d’emploi).
  • ·         Troubles psychiatriques: Très rares: agitation3, nervosité.
  • ·         Troubles du système immunitaire: Très rares: réactions allergiques incluant anaphylaxie, choc anaphylactique, réaction anaphylactique et oedème de Quincke.
  • Surdosage

    SymptômesTraitementLes médicaments anti-cholinergiques ou anti-parkinsoniens peuvent être utiles pour contrôler les réactions extrapyramidales.

  • Il n’existe pas d’antidote spécifique à la dompéridone, mais en cas de surdosage, un lavage gastrique ainsi que l’administration de charbon actif peuvent s’avérer utiles. Une surveillance médicale étroite et un traitement symptomatique sont recommandés.
  • Les cas de surdosage ont été rapportés essentiellement chez les nourrissons et les enfants. Les symptômes de surdosage peuvent inclure agitation, troubles de la conscience, convulsions, désorientation, somnolence et des effets extrapyramidaux.
  • Effet sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines

    BIPERIDYS n’altère pas (ou de façon négligeable) la capacité à conduire ou à utiliser des machines.

  • Propriétés pharmacologiques

    Groupe pharmacothérapeutique : STIMULANTS DE LA MOTRICITE INTESTINALE,
    code ATC : A03FA03.
    – Le dompéridone est un antagoniste de la dopamine aux propriétés anti-émétiques qui ne traverse pas facilement la barrière hémato-encéphalique. Chez les utilisateurs de dompéridone, en particulier chez les adultes, les effets secondaires extrapyramidaux sont très rares, mais le dompéridone entraîne la libération de prolactine par l’hypophyse. Son effet anti-émétique semble dû à une combinaison d’effets périphériques (motilité gastrique) et à un antagonisme des récepteurs dopaminergiques dans la zone de stimulation des chimiorécepteurs, située hors de la barrière hémato-encéphalique, dans l’area postrema.
    – Les études chez l’animal, ainsi que les faibles concentrations trouvées dans le cerveau, indiquent un effet périphérique prédominant du dompéridone sur les récepteurs dopaminergiques.
    Les études chez l’homme ont montré que le dompéridone per os augmente le tonus du sphincter inférieur de l’oesophage, améliore la motilité antroduodénale et accélère la vidange gastrique. Il n’y a pas d’effet sur la sécrétion gastrique.

  • ABSORPTION :
    Chez les sujets à jeun, le dompéridone est rapidement absorbé après administration orale, avec un pic plasmatique atteint en 30 à 60 minutes. La faible biodisponibilité absolue du dompéridone administré par voie orale (environ 15%) est due à un métabolisme de premier passage important dans la paroi intestinale et le foie. Même si la biodisponibilité du dompéridone est améliorée chez les sujets sains lorsqu’il est pris après un repas, les patients souffrant de troubles gastro-intestinaux doivent prendre le dompéridone dans les 15 à 30 minutes qui précèdent le repas. Une acidité gastrique réduite limite l’absorption du dompéridone. La biodisponibilité orale est réduite en cas d’administration préalable rapprochée de cimétidine et de bicarbonate de sodium. La survenue du pic d’absorption est légèrement retardée et l’aire sous la courbe augmente quelque peu lorsque le produit sous forme orale est pris après un repas.
    DISTRIBUTION :
    Le dompéridone per os ne semble pas s’accumuler ou activer son propre métabolisme ; le pic plasmatique à 90 minutes de 21 ng/ml après deux semaines d’administration per os de 30 mg par jour était environ le même que celui de 18 ng/ml après la première dose. Le dompéridone se lie entre 91 et 93% aux protéines plasmatiques. Des études de distribution chez l’animal avec des médicaments radiomarqués ont montré une large distribution dans les tissus, mais une faible concentration dans le cerveau. De faibles quantités de produit actif traversent le placenta chez la rate.
    METABOLISME :
    Le dompéridone subit un métabolisme hépatique rapide et important par hydroxylation et N-désalkylation. Les études de métabolisme in vitro utilisant des inhibiteurs diagnostiques ont révélé que CYP3A4 est une forme majeure du cytochrome P450 jouant un rôle dans la N-désalkylation du dompéridone, alors que CYP3A4, CYP1A2 et CYP2E1 interviennent dans l’hydroxylation aromatique du dompéridone.
    EXCRETION :
    Les excrétions urinaires et fécales représentent respectivement 31 à 66% de la dose orale. La proportion de produit inchangé excrété est faible (10% des excrétions fécales et environ 1% des excrétions urinaires). La demi-vie plasmatique après une dose orale unique est de 7 à 9 heures chez les sujets sains, mais est prolongée chez les patients souffrant d’insuffisance rénale sévère.
  • Durée et précautions particulières de conservation

    Durée de conservation :
    4 ans.
    Précautions particulières de conservation :
    Pas de précautions particulières de conservation.
    20 comprimés sous plaquettes thermoformées (PVC/Aluminium

  • Pas d’exigences particulières.

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