BRONQUIDIAZINA

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Bronquidiazina® CR

1 – DÉNOMINATION DU MEDICAMENT

Bronquidiazina® CR Suspension buvable.

2 – COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE

7,5 ml de suspension contiennent :

  • Triméthoprime : 80 mg ;
  • Sulfaméthoxazole : 400 mg ;
  • Bromhexine HCI : 4 mg ;
  • Benzoate de sodium : 250 mg ;
  • Sirop balsamique de Tolu : 325 mg.

Excipients
7,5 ml de suspension contiennent :

  • Glycérol (E422) : 943,125 mg ;
  • Saccharose : 415 mg ;
  • Parahydroxybenzoate de méthyle (E218) : 15 mg ;
  • Parahydroxybenzoate de propyle (E216) : 3,75 mg.

Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1

3 – FORME PHARMACEUTIQUE

Suspension buvable.
Suspension blanche homogène avec une odeur anisée.

4 – DONNÉES CLINIQUES

4.1 Indications thérapeutiques

  • Traitement par voie orale des infections des voies aériennes supérieures ou inférieures, produites par des germes à Gram positif et négatif sensibles à l’association sulfaméthoxazole/triméthoprime (voir rubrique 5), telles que la bronchite aiguë, l’exacerbation de bronchite chronique, la pneumonie, les infections de l’oreille moyenne et la sinusite ;
  • Traitement et prévention de la pneumonie à Pneumocystis carinii.

L’association sulfaméthoxazole/triméthoprime ne doit pas être utilisée pour le traitement de la pharyngo-amygdalite causée par un streptocoque bêta-hémolytique de groupe A, car les études cliniques ont démontré un taux d’échec bactériologique accru chez les patients traités avec l’association sulfaméthoxazole/triméthoprime, en comparaison avec les patients traités avec de la pénicilline.

4.2 Posologie et mode d’administration

Voie orale.
Il est conseillé de prendre le médicament après les repas afin de réduire le risque d’intolérance gastro-intestinale.
AGITER AVANT L’EMPLOI.

Posologie

  • Adultes et enfants de plus de 12 ans : 7,5 ml trois fois par jour ;
  • Enfants entre 2 et 12 ans : 2,5 ml trois fois par jour.

Insuffisance rénale :

Adultes avec clairance de la créatinine
  • Plus de 30 ml/min : dose adulte normale ;
  • Entre 15-30 ml/min : la moitié d’une dose adulte normale ;
  • Moins de 15 ml/min : l’administration est déconseillée.
Enfants avec clairance de la créatinine
  • Plus de 30 ml/min : dose pédiatrique habituelle ;
  • Entre 20-30 ml/min : la moitié d’une dose pédiatrique habituelle ;
  • Moins de 20 ml/min : contre-indiqué.

Durée du traitement

Le traitement devra être poursuivi pendant au moins 7 à 10 jours.

4.3 Contre-indications

Bronquidiazina® CR est contre-indiqué dasn les situations suivantes :

  • Chez les individus présentant des antécédents d’hypersensibilité à l’un des composants du médicament ou aux sulfamides en général (médicaments antidiabétiques oraux de la classe des sulfonylurées, diurétiques thiazidiques, furosémide ou inhibiteurs de l’anhydrase carbonique). ;
  • Insuffisance hépatique ou rénale avancée ;
  • Affections hématologiques, en particulier l’anémie mégaloblastique ;
  • Grossesse ;
  • Enfants de moins de 2 ans
  • Ulcère peptique actif, car les dommages des muqueuses peuvent s’aggraver.

4.4 Mises en garde spéciales et précautions d’emploi

  • Ce médicament doit être utilisé avec prudence chez les patients souffrant d’insuffisance rénale et hépatique (dénutrition ou alcoolisme), avec une carence congénitale en glucose-6-phosphate déhydrogénase, ou des antécédents d’allergies graves ou d’asthme bronchique ;
  • Afin de garantir une élimination rénale appropriée et de réduire le risque de cristallurie, le patient doit recevoir un apport hydrique adéquat et la valeur du pH de l’urine devra être maintenu dans des limites normales, afin d’éviter une acidification des urines ;
  • Une diminution de la dose est requise chez les patients souffrant d’insuffisance rénale (voir rubrique 4.2) ;
  • Tout traitement à base de cotrimoxazole doit être évité chez les patients présentant un risque connu de porphyrie aiguë car le triméthoprime comme les sulfamides ont été associés à une exacerbation clinique de la porphyrie ;
  • Le médicament doit être utilisé avec précaution chez les patients présentant des antécédents d’ulcères gastro-intestinaux ;
  • La prudence est de mise lorsque ce médicament est utilisé pour traiter des patients âgés, car ils sont plus susceptibles de présenter des effets indésirables graves ;
  • Pendant le traitement, éviter toute exposition prolongée au soleil au risque de provoquer des réactions de photosensibilisation ;
  • Des contrôles réguliers de la numération globulaire doivent être effectués lors de l’administration de sulfaméthoxazole/triméthoprime dans le cadre de traitements prolongés, car le manque de folate est susceptible de provoquer des modifications des paramètres hématologiques. Ces modifications peuvent être annulées en administrant de l’acide folinique (5-10 mg par jour), sans interférer avec l’activité antibiotique.

Mises en garde concernant les excipients

  • Ce médicament contient du glycérol, lequel peut provoquer des maux de tête, des problèmes gastriques et des diarrhées ;
  • Ce médicament contient de la saccharose. Les patients présentant une intolérance héréditaire au fructose, une mauvaise absorption du glucose ou du galactose ou un déficit en sucrase-isomaltase ne doivent pas prendre ce médicament ;
  • Ce médicament contient du parahydroxybenzoate de méthyle (E218) et du parahydroxybenzoate de propyle (E216) qui peuvent provoquer des réactions allergiques (éventuellement à effet différé).

4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions

  • Les sulfamides peuvent renforcer l’action d’autres médicaments en les délogeant de la liaison aux protéines plasmatiques. En particulier, les patients recevant des anticoagulants ou des antidiabétiques oraux doivent être surveillés pendant la thérapie combinée. Si une variation est observée dans la réponse du patient à la dose habituelle d’anticoagulant ou d’antidiabétique, ce dernier devra être réajusté pendant la période de traitement concomitant avec des sulfamides ;
  • L’administration préalable ou simultanée de diurétiques, principalement des thiazidiques, avec le sulfaméthoxazole/triméthoprime peut accroître le risque de thrombocytopénie, en particulier chez les patients âgés souffrant d’insuffisance cardiaque ;
  • Le médicament prolonge la demi-vie d’élimination de la phénytoïne. Par conséquent, lorsque les deux médicaments sont administrés simultanément, l’effet excessif de la phénytoïne doit être pris en compte. L’état du patient doit être surveillé, ainsi que la quantité de phénytoïne dans le sérum ;
  • Les effets toxiques de la digoxine, de la procaïnamide et de la warfarine peuvent également être renforcés ;
  • Ne pas administrer en association avec des produits trop acides ou alcalins ou avec des métaux lourds ;
  • De plus, une amélioration de l’action antifolique peut se produire chez des patients traités de façon concomitante avec d’autres médicaments réduisant le folate comme la phénytoïne ou le méthotrexate. La concentration plasmatique du méthotrexate peut augmenter car le composant sulfamide du cotrimoxazole augmente sa fraction libre du fait de la compétition du site de liaison aux protéines plasmatiques ;
  • Des altérations réversibles de la fonction rénale peuvent se produire chez des patients traités avec du sulfaméthoxazole/triméthoprime et de la cyclosporine après une greffe de rein ;
  • Un traitement combiné à d’autres dépresseurs de la moelle osseuse peut augmenter le risque de myélosuppression. L’utilisation concomitante de triméthoprime et de dapsone entraîne généralement une augmentation des niveaux plasmatiques des deux médicaments ;
  • L’utilisation simultanée d’autres agents hémolytiques et de sulfamides peut renforcer les effets toxiques alors qu’une administration conjointe avec d’autres médicaments hépatotoxiques peut accroître l’incidence d’une toxicité hépatique ;
  • Le triméthoprime peut réduire l’excrétion rénale et augmenter les concentrations de zidovudine et de lamivudine dans le sang ;
  • Interférence avec les tests de laboratoire : le triméthoprime peut interférer avec la détermination du méthotrexate sérique à l’aide de la méthode de liaison compétitive des protéines susmentionnée, si une dihydrofolate réductase bactérienne est utilisée comme protéine de liaison. En revanche, aucune interaction ne se produit si l’on utilise une méthode radio-immunologique pour la détermination du méthotrexate ;
  • Les résultats de la méthode de Jaffé (détermination de la créatinine, alcalinisée avec de l’acide picrique) peuvent également être altérés, avec des élévations de valeur de 10% environ ;
  • Réactif de Benedict : les sulfamides peuvent produire des résultats faux positifs dans les tests de glucose d’urine.

4.6 Fertilité, grossesse et allaitement

L’innocuité du sulfaméthoxazole/triméthoprime chez les femmes enceintes n’a pas été établie. Néanmoins, Bronquidiazina® CR est contre-indiqué pendant la grossesse car ces médicaments peuvent interférer avec le métabolisme de l’acide folique.

Le sulfaméthoxazole/triméthoprime est excrété dans le lait maternel. Par conséquent, son administration à des femmes allaitantes peut poser un faible risque d’ictère nucléaire chez les nourrissons atteints de jaunisse, et d’hémolyse chez les nourrissons présentant une carence en glucose-6-phosphate déhydrogénase. L’utilisation éventuelle de ce médicament pendant l’allaitement doit être évaluée et décidée par le médecin.

4.7 Effet sur l’aptitude à la conduite et l’utilisation de machines

L’expérience clinique démontre que ce médicament n’a aucun effet sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.

4.8 Effets indésirables

Troubles gastro-intestinaux

Les effets indésirables les plus fréquents sont de nature gastro-intestinale : nausées, vomissements, glossite, maux d’estomac et diarrhée.

Affections cutanées et sous-cutanées

Les réactions cutanées à l’administration de sulfamide peuvent prendre la forme d’éruptions cutanées, d’urticaire et de prurit. Dans de rares cas isolés impliquant des personnes âgées présentant une hypersensibilité intense, un érythème polymorphe (syndrome de Stevens-Johnson) ou une nécrolyse épidermique (syndrome de Lyell) peut être observé. L’administration doit être immédiatement suspendue en cas d’éruption cutanée survenant pendant le traitement.

Affections hématologiques et du système lymphatique

Des changements hématologiques ont été rapportés, principalement une leucopénie, une neutropénie, une thrombocytopénie et, moins souvent, une anémie mégaloblastique, une agranulocytose et un purpura, en particulier chez les personnes âgées et chez les patients souffrant de problèmes rénaux ou hépatiques ou d’une carence en acide folique. Ces altérations sont réversibles après l’arrêt du traitement. En cas de carence en acide folique, un complément doit être administré.
Des traitements prolongés peuvent entraîner des signes d’anémie mégaloblastique secondaire à une carence en acide folique, qui disparaissent avec un complément en acide folique.
De rares cas de méthémoglobinémie ont également été rapportés.

Troubles rénaux et urinaires

De rares cas de cristallurie, d’hématurie, de néphrite interstitielle ou de nécrose tubulaire ont été rapportés.

Troubles endocriniens

De rares cas de goitres ou de dysfonctionnement de la glande thyroïde ont été rapportés.

De rares cas de décès ont été causés par des réactions graves comme le syndrome de Stevens-Johnson, une nécrolyse épidermique toxique, une nécrose hépatique fulminante, une agranulocytose, une anémie aplastique et d’autres dyscrasies du sang.

Les effets indésirables sont plus fréquents chez les personnes âgées, les patients souffrant d’insuffisance rénale et les sujets infectés par le VIH.

Le traitement doit être arrêté dès les premiers signes d’éruption cutanée ou de symptômes de carence en acide folique.

4.9 Surdosage

Les symptômes de surdosage incluent des vomissements, des nausées, des diarrhées, des vertiges, une confusion et une dépression de la moelle osseuse. Dans les cas très graves, une hématurie, une anurie et une cristallurie ont été décrites. Il est recommandé d’interrompre le traitement, en provoquant les vomissements s’ils ne surviennent pas spontanément. Un lavage gastrique (pompage) est indiqué, même si l’absorption dans les voies gastro-intestinales est rapide et se produit en deux heures environ. L’acidification de l’urine facilite l’élimination du triméthoprime, alors que l’alcalinisation augmente l’élimination du sulfaméthoxazole.

La surveillance du patient est nécessaire. L’hémodialyse permet seulement d’éliminer des quantités modérées de médicament. La dialyse péritonéale n’est pas efficace pour augmenter l’élimination du produit.

5 – PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES

5.1. Propriétés pharmacodynamiques

Le triméthoprime/sulfaméthoxazole est l’une des rares associations antibiotiques disponibles dans le commerce. Cette association fixe est aussi appelée cotrimoxazole.

Le sulfaméthoxazole est un antiseptique bactériostatique à spectre large et un analogue structural de l’acide para-aminobenzoïque (PABA) qui inhibe la synthèse bactérienne de l’acide dihydrofolique par la compétition avec le PABA.

Le thiméthoprime est un diaminopyrimidine lipophile qui possède également une action bactériostatique et qui est structurellement lié à !a pyriméthamine. Il se lie à la dihydrofolate réductase bactérienne et l’inhibe de manière réversible, bloquant sélectivement la conversion de l’acide dihydrofolique dans sa forme fonctionnelle, l’acide tétrahydrofolique. Cette liaison réduit les réserves bactériennes de folate, un co­facteur essentiel dans la biosynthèse des acides nucléiques, interférant par conséquent avec la production de protéine bactérienne et d’acide nucléique.

Ces deux substances agissent de manière séquentielle dans l’inhibition de la synthèse d’acide folique et produisent un effet bactéricide synergique contre une grande variété de bactéries à Gram positif et négatif.

Le triméthoprime/sulfaméthoxazole est actif contre une grande variété d’organismes à Gram positif et négatif : streptocoque, Haemophilus influenzae, Neisseria gonorrhoeae, Brucella, Chlamydia trachomatis, Haemophilus ducreyi, Moraxella catarrhalis, Pneumocystis carinii, Mycobacterium balnei, Pseudomonas pseudomallei, Yersimia pestis et enterocolitica, Salmonella typhi et paratyphi, Shingella, Klebsiella oxytoca, Enterobacter, Klebsiella pneumoniae, Escherichia coli et Serratia marcescens.
Les micro-organismes non-sensibles incluent les Mycobacterium tuberculosis, Treponema pallidum, Pseudomonas aeruginosa et le mycoplasme.

Le bromhexine est un agent antitussif mucolytique qui possède une action de dégagement des bronches obtenue à partir d’une plante utilisée en Inde dans le traitement de l’asthme. Le bromhexine facilite l’expectoration par deux mécanismes :

  1. fluidification des expectorations et
  2. augmentation des sécrétions bronchiques.

De cette façon, le médicament dégage les voies respiratoires obstruées par les sécrétions et réduit la résistance des voies aériennes. L’effet est complété par l’action balsamique expectorante du benzoate de sodium et du sirop balsamique de Tolu.

L’administration d’un antibiotique avec des agents mucolytiques et expectorants fluidifie les sécrétions bronchiques, ce qui facilite leur élimination, réduisant ainsi le dégagement de l’arbre bronchique et augmentant la disponibilité de l’antibiotique dans les sécrétions bronchiques, ce qui garantit une action thérapeutique plus rapide et renforcée.

5.2. Propriétés pharmacocinétiques

Après une administration par voie orale, l’absorption est très efficace, et les concentrations sériques maximales sont atteintes après 2 et 4 heures pour le triméthoprime et le sulfaméthoxazole, respectivement. Lorsque des concentrations stationnaires ont été atteintes suite à une dose répétée, le niveau de concentrations plasmatiques par voie orale est de 20/1. Le triméthoprime et le sulfaméthoxazole se lient aux protéines plasmatiques dans des proportions de 45% et 66% respectivement.

Le triméthoprime affiche une pénétration dans les tissus supérieure à celle du sulfaméthoxazole, en particulier dans les tissus adipeux, car son volume de distribution est 9 fois supérieur à celui du sulfaméthoxazole. Le médicament se répand largement dans les tissus et les fluides, y compris les sécrétions bronchiques et les liquides de l’oreille moyenne. Il traverse la barrière placentaire et est excrété dans le lait maternel.

La demi-vie d’élimination du triméthoprime est de 8 à 11 heures, contre 10 à 13 heures dans le cas du sulfaméthoxazole, ce qui justifie l’administration de l’association en deux doses quotidiennes. Le cotrimoxazole est métabolisé dans le foie et ses deux composants sont excrétés dans l’urine, par une filtration glomérulaire et une sécrétion tubulaire active.
La dose nécessaire aux patients souffrant d’insuffisance rénale devra être ajustée proportionnellement à la baisse de la clairance de la créatinine. De faibles quantités de triméthoprime peuvent être détectées dans les selles, suite à une excrétion biliaire d’une petite proportion du médicament circulant.

Le bromhexine est rapidement absorbé dans les voies gastro-intestinales et 85 à 90% du produit sont excrétés dans l’urine, principalement comme métabolites (ambroxol). Les concentrations sériques maximales sont atteintes après une heure. La demi-vie plasmatique est de 12 à 25 heures et la liaison aux protéines plasmatiques est forte (90 à 99%). Étant donné la métabolisation intense du premier passage dans le foie, la biodisponibilité du bromhexine est de 20% seulement.

5.3. Données de sécurité précliniques

Le triméthoprime ne présente aucune activité mutagène tel qu’établi dans le test d’Ames.

Aucune anomalie chromosomique n’a été observée dans les lymphocytes du sang périphérique des patients ayant reçu 320 mg de triméthoprime en association avec 1 600 mg de sulfaméthoxazole par jour pendant 112 semaines.

Aucune étude à long terme chez les animaux n’a été réalisée pour évaluer le potentiel carcinogène du cotrimoxazole.

A des doses supérieures à la marge thérapeutique, des effets tératogènes du triméthoprime ont été observés chez les rats, avec un comportement d’antagoniste du folate. Aucune malformation n’a été constatée chez les lapins, même si des doses 10 fois supérieures aux doses thérapeutiques ont révélé une augmentation de la mortalité fœtale.

6 – DONNEES PHARMACEUTIQUES

6.1. Liste des excipients

Glycérol (E422), Saccharose, Gomme xanthane, Saccharine sodique, Parahydroxybenzoate de méthyle (E218), Polysorbate 80, Parahydroxybenzoate de propyle (E216), Agent anti-mousse diméthicone, Essence d’anis, Eau.

6.2. Incompatibilités

Aucune donnée disponible.

6.3. Durée de conservation

5 ans à partir de la date de fabrication.

6.4. Précautions particulières de conservation

À conserver à une température inférieure à 25°C.

6.5. Nature et contenu de l’emballage extérieur

Flacon en verre contenant 150 ml de suspension et fourni avec une bouchon doseur.

6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation

BIEN AGITER LA BOUTEILLE AVANT L’EMPLOI.

Tout produit non-utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.

7 – CONDITIONS DE PRESCRIPTION ET DE DELIVRANCE

Liste I.

8 – TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE

FAES FARMA, S.A.
Maxima Aguirre, 14 48940 Leioa
ESPAGNE

9. DATE DE RÉVISION DU TEXTE

Octobre 2016.

Dernière mise à jour de cette page

24/02/2020.

Faes Farma

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