ÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT
ANSM – Mis à jour le : 07/02/2019
Adrénaline Aguettant 1 mg/mL sans sulfite, solution injectable
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Adrénaline……………………………………………………………………………………………………………… 1 mg
Sous forme de tartrate d’adrénaline
Pour 1 mL de solution injectable
Une ampoule de 1 mL contient 1 mg d’adrénaline.
Une ampoule de 5 mL contient 5 mg d’adrénaline.
Excipient à effet notoire : sodium.
Chaque ml de solution injectable contient 3,15 mg de sodium, équivalent à 0,137 mmol. Chaque ampoule de 5 ml contient 15,75 mg de sodium, équivalent à 0,685 mmol.
Pour la liste complète des excipients, voir rubrique 6.1.
4.1. Indications thérapeutiques
· Traitement de l’arrêt cardiovasculaire.
· Traitement du choc anaphylactique.
· Traitement des détresses cardio-circulatoires avec états de choc anaphylactique, hémorragique, traumatique, infectieux ou secondaire à la chirurgie cardiaque.
· Traitement hémostatique des hémorragies digestives hautes (grades IA et IB de la classification de Forrest), non liées à une hypertension portale, lors d’un traitement endoscopique et en association à d’autres méthodes (thermiques, mécaniques, médicamenteuses).
Les actes thérapeutiques endoscopiques ne sont réalisés qu’après ou éventuellement pendant la stabilisation des fonctions vitales du patient.
Le choix de la technique complémentaire est laissé à l’appréciation de l’opérateur et doit prendre en compte le contexte clinique et endoscopique.
4.2. Posologie et mode d’administration
Traitement de l’arrêt cardiaque :
Adultes :
Voie I.V. : en bolus de 1 mg d’adrénaline (1 mL) toutes les 3 à 5 minutes jusqu’au rétablissement de l’état hémodynamique.
La voie intra-osseuse peut être utilisée en voie alternative, à la même posologie que la voie I.V. Un relais réalisé par la voie intraveineuse doit être envisagé dès que cela est possible.
La voie trachéo-bronchique peut être utilisée en voie alternative à la voie I.V., à une posologie de 3 mg (3 mL) dilué dans 10 mL de solution de chlorure de sodium à 0.9 %, en dose unique.
Nourrissons et enfants :
Voie I.V. : en bolus de 0,01 mg/kg d’adrénaline, puis si nécessaire, une dose supplémentaire de 0,01 mg/kg toutes les 3 à 5 minutes jusqu’au rétablissement de l’état hémodynamique.
La voie intra-osseuse peut être utilisée en voie alternative, à la même posologie que la voie I.V. Un relais réalisé par la voie intraveineuse doit être envisagé dès que cela est possible.
La voie trachéo-bronchique peut être utilisée en voie alternative à la voie I.V., à une posologie de 0,1 à 0,3 mg/kg, en dose unique.
Traitement du choc anaphylactique établi :
Adultes :
Voie I.M. : 0,5-1 mg d’adrénaline (0,5-1 mL), répété toutes les 5 minutes si nécessaire.
Voie I.V. : 0,1 mg d’adrénaline après dilution, soit 1 mg (1 mL) dans 9 mL de solution de chlorure de sodium à 0,9 % puis administration intraveineuse en bolus de 1 mL de la solution diluée. Les bolus seront répétés jusqu’au rétablissement de l’état hémodynamique. Une surveillance étroite sera instaurée.
Voie S.C. : 0,3 mg d’adrénaline (0,3 mL de la solution non diluée). L’amélioration apparaît généralement dans les 3 à 5 minutes suivant l’injection sous-cutanée. Une seconde injection de 0,3 mg (0,3 mL de la solution non diluée) peut être faite 10 à 15 minutes plus tard si nécessaire.
Nourrissons et enfants :
Les doses recommandées sont les suivantes :
Age |
Dose d’adrénaline 1 mg/mL (solution à 1:1000) |
Au-dessus de 12 ans |
0,5 mg en IM (0,5 mL de la solution à 1:1000) |
6-12 ans |
0,3 mg en IM (0,3 mL de la solution à 1:1000) |
6 mois-6 ans |
0,15 mg en IM (0,15 mL de la solution à 1:1000) |
En-dessous de 6 mois |
0,01 mg/kg en IM (0,01 mL/kg de la solution à 1:1000) |
Si nécessaire, ces doses peuvent être répétées plusieurs fois à intervalles de 5-15 minutes, en fonction de la pression artérielle, de la fréquence cardiaque et de la fonction respiratoire. Une seringue de petit volume doit être utilisée.
Traitement des détresses cardio-circulatoires avec états de choc :
Administration à la seringue électrique en continu d’une dose comprise entre 0,01 microgramme/kg/minute et 0.5 voire 1 microgramme/kg/minute, la posologie moyenne étant à titrer en fonction de l’effet thérapeutique recherché.
Traitement hémostatique des hémorragies digestives hautes non liées à une hypertension portale :
Injection locale de petites quantités d’adrénaline diluée en plusieurs sites autour de la lésion. L’adrénaline est diluée au 1/10 000, soit 1 mg d’adrénaline (1 mL) dans 9 mL de solution de chlorure de sodium à 0,9 % (pour 10 mL).
L’hémostase est généralement observée à des doses totales de solution diluée inférieures à 40 mL, correspondant au maximum à 4 mg d’adrénaline après dilution au 1/10 000.
L’utilisation de volumes élevés d’adrénaline impose une surveillance cardiaque et tensionnelle par scope.
L’injection locale est recommandée en association à d’autres méthodes (thermiques, mécaniques médicamenteuses).
Ce médicament ne doit jamais être utilisé en cas de :
· Troubles du rythme (surtout ventriculaire)
· Myocardiopathie obstructive sévère
· Insuffisance coronarienne
· Hypersensibilité connue à l’adrénaline, ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique 6.1.
Ce médicament étant indiqué en situation d’urgence, ces contre-indications sont relatives.
4.4. Mises en garde spéciales et précautions d’emploi
Mises en garde spéciales
ADRENALINE AGUETTANT 1 mg/mL SANS SULFITE est uniquement indiqué comme traitement d’urgence. Un suivi médical est indispensable après administration.
L’administration d’adrénaline impose une surveillance cardiovasculaire étroite et si possible un monitorage électrocardiographique. Toute administration par voie intraveineuse d’adrénaline peut entraîner des troubles du rythme ventriculaire avec risque de fibrillation ventriculaire parfois létale, ainsi que des élévations tensionnelles. L’adrénaline doit être administrée par voie I.M. ou S.C., en cas de survenue de prodromes d’une réaction anaphylactique tels que : · prurit généralisé des muqueuses ou érythème, œdème labial ou oropharyngé, · oppression thoracique, · sueurs profuses, · hypotension. |
Administration intraosseuse :
Cette voie d’administration doit être réservée aux situations d’urgence lorsqu’une voie veineuse centrale ou périphérique ne peut être posée dans un délai suffisant.
La pose d’une voie d’abord intra osseuse doit être réalisée par des professionnels de santé formés à ce geste.
Le site d’administration intra osseuse doit être déterminé selon l’état du patient et les autres procédures d’urgence effectuées en parallèle.
L’administration par voie intra osseuse doit être réalisée par des professionnels de santé entrainé à ce type d’administration.
Le cathéter intraosseux ne doit pas être placé au niveau d’un os long fracturé, d’une extrémité avec une blessure vasculaire, ou encore dans une zone de peau infectée ou abîmée.
La zone d’administration intraosseuse doit être surveillée afin de prévenir les risques d’extravasation et de syndrome de compartiment.
En cas de choc hypovolémique, n’administrer l’adrénaline qu’après rétablissement de la volémie.
Traitement hémostatique des hémorragies digestives : l’utilisation de volumes élevés d’adrénaline impose une surveillance cardiaque et tensionnelle par scope.
L’attention des sportifs sera attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
La prise concomitante de ce médicament par voie intraveineuse ou intramusculaire est déconseillée en association avec les anesthésiques volatils halogénés, les antidépresseurs imipraminiques ou les médicaments mixtes adrénergiques-sérotoninergique (voir rubrique 4.5).
Précautions d’emploi
Après administration d’adrénaline, des effets indésirables peuvent survenir chez des patients souffrant d’insuffisance rénale sévère, d’hypercalcémie, d’hypokaliémie, chez les diabétiques, les femmes enceintes.
Des injections locales répétées peuvent provoquer une nécrose au niveau des points d’injection par vasoconstriction.
Population pédiatrique
La voie intramusculaire est généralement privilégiée dans la prise en charge initiale du choc anaphylactique, la voie intraveineuse étant plus appropriée dans les unités de soins intensifs (USI) ou dans les services d’urgence. L’injection d’adrénaline à 1 mg / mL (1:1000) ne convient pas pour une administration intraveineuse. Si la solution injectable d’adrénaline à 0,1 mg / mL (1:10 000) n’est pas disponible, une solution d‘adrénaline à 1: 1000 doit être diluée à 1:10 000 avant toute administration par voie intraveineuse. L’administration par voie intraveineuse d’adrénaline doit être utilisée avec une extrême prudence et est généralement réservée aux spécialistes familiers avec l’administration intraveineuse de l’adrénaline.
4.5. Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interactions
Interactions avec l’adrénaline utilisée par voie IV ou IM
Associations déconseillées (voir rubrique 4.4 Mises en garde spéciales)
+ Anesthésiques volatils halogénés (desflurane, enflurane, halothane, isoflurane, methoxyflurane, sevoflurane)
Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l’excitabilité cardiaque.
+ Antidépresseurs imipraminiques (amitriptyline, amoxapine, clomipramine, desipramine, dosulepine, doxepine, imipramine, maprotiline, nortriptyline, opipramol, trimipramine)
Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l’entrée du sympathomimétique dans la fibre sympathique).
+ Médicaments mixtes adrénergiques-sérotoninergiques (amitriptyline, clomipramine, imipramine, milnacipran, oxtitriptan, sibutramine, venlafaxine)
Hypertension paroxystique avec possibilité de troubles du rythme (inhibition de l’entrée du sympathomimétique dans la fibre sympathique).
Associations faisant l’objet de précautions d’emploi
+ IMAO non sélectifs (iproniazide, nialamide)
Augmentation de l’action pressive du sympathomimétique, le plus souvent modérée. A n’utiliser que sous contrôle médical strict.
+ IMAO A sélectifs (moclobémide, toloxatone)
Par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs : risque d’augmentation de l’action pressive. A n’utiliser que sous contrôle médical strict.
+ Linézolide
Par extrapolation à partir des IMAO non sélectifs : risque d’augmentation de l’action pressive. A n’utiliser que sous contrôle médical strict.
Interactions avec l’adrénaline utilisée par voie sous-cutanée
Associations faisant l’objet de précautions d’emploi
+ Anesthésiques volatils halogénés (desflurane, enflurane, halothane, isoflurane, methoxyflurane, sevoflurane)
Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l’excitabilité cardiaque. Limiter l’apport, par exemple : moins de 0,1 mg d’adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l’adulte.
+ Antidépresseurs imipraminiques (amitriptyline, amoxapine, clomipramine, desipramine, dosulepine, doxepine, imipramine, maprotiline, nortriptyline, opipramol, trimipramine)
Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l’excitabilité cardiaque. Limiter l’apport, par exemple : moins de 0,1 mg d’adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l’adulte.
+ Médicaments mixtes adrénergiques-sérotoninergiques (amitriptyline, clomipramine, imipramine, milnacipran, oxtitriptan, sibutramine, venlafaxine)
Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l’excitabilité cardiaque. Limiter l’apport, par exemple : moins de 0,1 mg d’adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l’adulte.
+ IMAO non sélectifs (iproniazide, nialamide)
Troubles du rythme ventriculaire graves par augmentation de l’excitabilité cardiaque. Limiter l’apport, par exemple : moins de 0,1 mg d’adrénaline en 10 minutes ou 0,3 mg en 1 heure chez l’adulte.
4.6. Fertilité, grossesse et allaitement
Grossesse
Les études effectuées chez l’animal ont mis en évidence un effet tératogène.
En clinique, l’utilisation de l’adrénaline au cours d’un nombre limité de grossesses n’a révélé aucun effet malformatif ou foetotoxique particulier à ce jour. Toutefois, des études complémentaires sont nécessaires pour évaluer les conséquences d’une exposition en cours de grossesse.
Compte tenu des indications en situation d’urgence, l’adrénaline peut être utilisée, si besoin, au cours de la grossesse.
Le passage de l’adrénaline dans le lait maternel n’est pas connu. Compte tenu des effets indésirables potentiels pour le nouveau-né allaité, l’allaitement est déconseillé au cours d’un traitement par l’adrénaline.
4.7. Effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Les effets indésirables dépendent de la sensibilité individuelle du patient et de la dose administrée.
A faible dose, les effets indésirables fréquents sont : palpitations, tachycardie, sueurs, nausées, vomissements, dyspnée, pâleur, étourdissements, faiblesse, tremblements, céphalées, inquiétude, nervosité, anxiété, refroidissement des extrémités.
Les effets indésirables moins fréquents sont : hallucinations, syncopes, hyperglycémie, hypokaliémie, acidose métabolique, mydriase, difficulté mictionnelle avec rétention urinaire, tremblements musculaires.
A forte dose ou chez les patients sensibles à l’adrénaline, les effets indésirables sont : arythmie cardiaque notamment ventriculaire (avec risque de fibrillation ventriculaire/arrêt cardiaque), accès d’hypertension artérielle (provoquant parfois une hémorragie cérébrale), vasoconstriction (par exemple cutanée, des muqueuses et des reins), crises angineuses, voire risque d’infarctus aigu du myocarde.
Un syndrome de Takotsubo (cardiomyopathie de stress) peut survenir.
Déclaration des effets indésirables suspectés
La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable suspecté via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance – Site internet : www.signalement-sante.gouv.fr.
Un surdosage ou une injection intra-vasculaire accidentelle d’adrénaline peut provoquer une hypertension artérielle sévère responsable d’accidents cérébraux, cardiaques et vasculaires potentiellement mortels (hémorragie cérébrale, troubles du rythme tels que bradycardie transitoire suivie d’une tachycardie pouvant conduire à une arythmie, nécrose myocardique, œdème aigu pulmonaire, insuffisance rénale). La demi-vie de l’adrénaline étant très brève, il n’est pas toujours nécessaire d’avoir recours à des médicaments spécifiques.
Les effets de l’adrénaline peuvent être antagonisés, en fonction de l’état du patient, par l’administration de vasodilatateurs à action rapide de type dihydropyridine, de médicaments alpha-bloquants adrénergiques, voire de bêta-bloquants adrénergiques.
5. PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES
5.1. Propriétés pharmacodynamiques
Classe pharmacothérapeutique : STIMULANTS CARDIAQUES, GLUCOSIDES CARDIOTONIQUES EXCLUS, code ATC : C01CA24.
L’adrénaline est une amine sympathomimétique à action directe ayant des effets aussi bien sur les récepteurs alpha que bêta-adrénergiques (bêta 1 et bêta 2), mais dont l’effet est plus marqué aux doses thérapeutiques faibles tandis que l’effet alpha est plus marqué aux doses thérapeutiques élevées.
L’emploi d’adrénaline repose essentiellement sur les propriétés suivantes :
· vasoconstriction périphérique,
· action cardiaque bathmotrope positive et inotrope positive,
· action relaxante de la musculature bronchique et inhibition de la libération des médiateurs de l’inflammation et de l’allergie,
· hémorragies digestives actives hautes :
L’injection d’adrénaline pratiquée au cours du traitement endoscopique des hémorragies digestives actives agit vraisemblablement par trois mécanismes : la tamponnade (liée au volume injectée), l’effet vasoconstricteur et la stimulation de l’agrégation plaquettaire. L’injection d’adrénaline permet d’obtenir une hémostase immédiate aussi bien que les autres méthodes endoscopiques, mais l’effet est de courte durée et l’injection d’adrénaline s’est révélée inférieure aux autres méthodes endoscopiques (ex : pose de clip) en ce qui concerne la récidive hémorragique et la nécessité de recourir à une intervention chirurgicale.
5.2. Propriétés pharmacocinétiques
L’adrénaline est rapidement inactivée dans l’organisme principalement par les enzymes hépatiques COMT et MAO (chez les adultes comme chez les enfants).
La majorité d’une dose d’adrénaline est excrétée sous forme urinaire.
Après administration intraveineuse, la demi-vie plasmatique est d’environ 2 à 3 minutes.
5.3. Données de sécurité préclinique
L’adrénaline s’est montrée mutagène dans les tests d’Ames (sur Salmonella typhimurium souche TA100) aux doses de 3 333 µg et 10 000 µg par boîte.
Elle s’est révélée mutagène dans le test sur cellules L5178Y du lymphome de souris à partir de 100 µg/mL (plus petite dose avec effet).
Les études sur la reproduction chez le rat ont montré qu’à la dose de 0.72 mg/kg/jour administrée par perfusion IV continue les jours 13 à 19 de la gestation, l’adrénaline entraîne une diminution du débit sanguin de l’utérus et du placenta sans effet sur le poids de la mère et du fœtus et sans effet létal sur le fœtus.
Chlorure de sodium, acide chlorhydrique, eau pour préparations injectables.
En l’absence d’études de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d’autres médicaments.
Ne jamais diluer dans des solutions alcalines.
Sont incompatibles : alcalins, cuivre, fer, argent, zinc et autres métaux, gommes, agents antioxydants et tanins.
18 mois pour les présentations en ampoule de 5 mL.
21 mois pour les présentations en ampoule de 1 mL.
Après dilution dans une solution de chlorure de sodium à 0.9 %, le produit doit être utilisé immédiatement.
6.4. Précautions particulières de conservation
A conserver à une température ne dépassant pas +25°C. Conserver les ampoules dans l’emballage extérieur, à l’abri de la lumière.
Pour les conditions de conservation du médicament après dilution voir la rubrique 6.3.
6.5. Nature et contenu de l’emballage extérieur
5 mL en ampoule (verre incolore de type I). Boîte de 1, 5, 10, 50 ou 100 ampoule(s).
1 mL en ampoule (verre incolore de type I). Boîte de 1, 5, 10, 50 ou 100 ampoule(s).
Toutes les présentations peuvent ne pas être commercialisées.
6.6. Précautions particulières d’élimination et de manipulation
Pas d’exigences particulières.
Tout médicament non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
7. TITULAIRE DE L’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
1 RUE ALEXANDER FLEMING
69007 LYON
FRANCE
8. NUMERO(S) D’AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE
· 34009 572 783 0 4 : 1 mL en ampoule (verre) ; boîte de 1
· 34009 572 784 7 2 : 1 mL en ampoule (verre) ; boîte de 5
· 34009 300 746 1 9 : 1 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
· 34009 572 781 8 2 : 1 mL en ampoule (verre) ; boîte de 50
· 34009 572 782 4 3 : 1 mL en ampoule (verre) ; boîte de 100
· 34009 571 684 9 0 : 5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 1
· 34009 571 685 5 1 : 5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 5
· 34009 571 422 4 7 : 5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 10
· 34009 571 423 0 8 : 5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 50
· 34009 571 424 7 6 : 5 mL en ampoule (verre) ; boîte de 100
9. DATE DE PREMIERE AUTORISATION/DE RENOUVELLEMENT DE L’AUTORISATION
[à compléter ultérieurement par le titulaire]
Date de première autorisation:{JJ mois AAAA}
Date de dernier renouvellement:{JJ mois AAAA}
10. DATE DE MISE A JOUR DU TEXTE
Sans objet.
12. INSTRUCTIONS POUR LA PREPARATION DES RADIOPHARMACEUTIQUES
Liste I